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News :

Ar...Tsakoug

Chers amis,

De tout coeur, près de vous en cette période chaotique.

Le 6 novembre 2020, dans mon atelier, en regardant le livre peint, je fredonne une chanson d’Antoine.

C’était un jour de guerre en Artsakh. Aujourd’hui, je vous offre cette vidéo titrée «non à ce canon» de la série « Ar…Tsakoug ! » (« oh…petit poussin » en arménien).

Tisser des liens pour grandir.

Amitié, Aïda

Biennale internationale «Petit Format de Papier»

Exposition du 05 septembre au 11 avril 2021

Voici une invitation à choisir dans le programme des activités autour de la Biennale à laquelle je participe.

Je ne serai pas présente aux vernissages et par avance, désolée pour les horaires fluctuants.

Le petit format touche-t-il l’intime dans son immensité ?
Au printemps 2020, j’ai allumé une bougie virtuelle, via « Illuminate Holocauste memory » pour honorer la mémoire de Josef Waks, un nom et une biographie que je découvre sur l’écran…

S’ensuit, sur 4 feuilles A4, 4 empreintes des paumes de mes mains…

La peinture nous emporte là où on ne sait pas.

Je vous souhaite de belles découvertes.

Aïda

Musée du Petit Format a.s.b.l.
6, rue Bassidaine, 5670 Nismes (Viroinval) – Belgique

horaires et infos pratiques

Presentation

 

 

Aïda Kazarian bâtit depuis quarante ans une oeuvre peinte qui se manifeste dans des tableaux dont certains à la feuille d'or, des livres (Books), des interventions dans l'espace tridimensionnel sous forme de rouleaux peints de longueurs variées.

 

Son oeuvre est produite la plupart du temps directement avec son corps: son doigt, sans pinceau ni outil. Sa peinture prolonge une tradition ancienne, celle des tapis. Elle retient de cette expérience l'idée de répétition, et son écriture qui suit le mouvement en boustrophédon qu'adoptent les tisseurs et tisseuses. Ses deux parents étaient restaurateurs de tapis d'orient.

 

Après des études à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles, où elle enseigna, elle entame une carrière qui l'amène à exposer tant en Europe qu'en Amérique du Nord.

 

C'est peu à peu que s'impose sa façon de peindre, avec ses doigts, en se laissant imprégner par la tradition millénaire observée au sein de l'atelier familial. Depuis le début des années 1990, elle expose avec régularité son travail abstrait. Depuis dix ans, on observe une nouvelle orientation dans son oeuvre, qui interroge de plus en plus méthodiquement la mémoire arménienne qu'elle porte en elle.

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